Les quatre morts de Marie
Texte de Carole Fréchette
Ed. Actes Sud-Papiers, 1997
Mise en scène de Catherine Anne
- Avec
- Clothilde Mollet – Marie
- Marie-Paule Sirvent– Simone, Sylvette
Philippe Polet – Pierrot, Pierre, Jean-Pierre
Marc Chouppart – Théo, Thomas
Vincent Dissez – Louis
- Décor Charlotte Villermet
- Costumes Sigolène de Chassy
- Lumière Joël Hourbeigt
- Son Madame Miniature
Production : A Brûle-pourpoint
- Descriptif
Elle voulait écrire les aventures de Mary Simpson, elle voulait élever quatre garçons, quatre filles, marcher jusqu’à la Terre de Feu, découvrir un continent. Mais les choses se passent autrement. Elle vend des souliers bon marché, elle écrit sur les murs des mots enflammés, elle fait des sourires à la télévision puis elle dort énormément.
Elle s’appelle Marie. Elle meurt quatre fois devant nous, de chagrin, de révolte, d’absurdité, de solitude. Mais toujours elle reprend, suivant jusqu’au bout le fil ténu de la vie… En quatre tableaux, la traversée à la fois sombre et légère de cette femme téméraire, depuis son départ pour l’école un matin de mai jusqu’à sa fuite effrénée, des années plus tard, dans une chaloupe au milieu de l’océan.« J’ai lu et j’ai été touchée, j’ai été intriguée par ce qui m’était à la fois proche et mystérieux. […] Marie : une personne à la lisière du monde. De celles qui ont de la difficulté à s’adapter à la société. De celles qui refusent l’âge des désirs calmes, des idéaux fanés, du renoncement. […] Touchée encore par l’énergie de cette écriture-là, mélange de déséquilibre structurel, de réel tordu, d’invention formelle, de mouvements organiques, d’humeurs. » C.A
Elle s’appelle Marie. Elle meurt quatre fois devant nous, de chagrin, de révolte, d’absurdité, de solitude. Mais toujours elle reprend, suivant jusqu’au bout le fil ténu de la vie… En quatre tableaux, la traversée à la fois sombre et légère de cette femme téméraire, depuis son départ pour l’école un matin de mai jusqu’à sa fuite effrénée, des années plus tard, dans une chaloupe au milieu de l’océan.« J’ai lu et j’ai été touchée, j’ai été intriguée par ce qui m’était à la fois proche et mystérieux. […] Marie : une personne à la lisière du monde. De celles qui ont de la difficulté à s’adapter à la société. De celles qui refusent l’âge des désirs calmes, des idéaux fanés, du renoncement. […] Touchée encore par l’énergie de cette écriture-là, mélange de déséquilibre structurel, de réel tordu, d’invention formelle, de mouvements organiques, d’humeurs. » C.A
- Création au Théâtre Gérard Philipe CDN de St Denis du 24 février au 22 mars 1998
- Tournée
- Théâtre Jean Lurçat, Aubusson les 31 mars et 1er avril 1998
- 26 représentations