janvier à mars 2020 à Amiens, Paris, Guyancourt, Genève, Sion
Reprise du texte de Carole Fréchette au festival d’Avignon du 6 au 29 juillet 2018 au Théâtre des Halles. Spectacle créé en novembre 2016 au Théâtre de l’Iris (Villeurbanne).
Joué par les élèves de 2nde année d’Arts en scène. Sorte de travelling théâtral dans la société d’aujourd’hui, Comédies tragiques, exprime, avec vivacité, le combat de l’être humain face à des pouvoirs, écrasants ou dérisoires. Grinçant, violent, drôle.
Un diptyque composé de L’École des femmes (1662) de Molière et de Agnès (1995) de Catherine Anne.
Deuxième volet du projet « Loin des villes, loin des théâtres ». Ecriture et création dans la Communauté de communes du Bocage Gâtinais, Seine-et-Marne.
Premier volet du projet « Loin des villes, loin des théâtres ». Ecriture et création à Pelvoux, Hautes-Alpes.
Un carnet de croquis sur le vif de notre monde contemporain créé à chaud de l’actualité.
Dans cette fable en trois temps, une famille se trouve confrontée à la question de la foi. Et au-delà, surgit une autre dimension, collective, politique. Autour de la religion et de cette fameuse tolérance qui devrait permettre de vivre ensemble. Jusqu’où la tolérance ?
Une pièce musicale, rythmée de chants, où se délient les secrets. Entre drâme et drôlerie, violence et loufoquerie.
Ils étaient trois. Du même ventre. Un frère, deux soeurs. Grandis ensemble dans une maison pleine de cris. Trois. Un frère, deux soeurs. Ils vont passer d’un siècle à l’autre, deux deviendront célèbres, une sera oubliée. Ils s’appelaient Claudel. Camille, Louise et Paul.
Au trente-troisième étage d’une tour moderne, Béatrice attend, telle une princesse aux longs cheveux. Elle a placardé dans toute la ville une affiche promettant une récompense substantielle à celui qui pourra l’intéresser, l’émouvoir et la séduire. Un homme se présente, Jean, prêt a se soumettre aux trois épreuves…
Cette pièce est librement inspirée par la vie et les lettres de Calamity Jane… Mais attention, cette indication, pour exacte qu’elle soit, peut être une fausse piste, si on s’y engouffre sans retenue.
Joëlle (la quarantaine éprouvée) vient d’être engagée comme garde nuit chez madame Chevalier (la quatre-vingt-dizaine furieuse) qui supporte difficilement ces gardes diplômées que lui envoie sa fille, Geneviève (la cinquantaine dynamique). Mais Joëlle ex-chomeuse, est prête à tout pour garder sa place.
Elle voulait écrire, elle voulait élever quatre garçons, quatre filles, marcher jusqu’à la Terre de Feu, découvrir un continent. Mais les choses se passent autrement. Elle vend des souliers, elle écrit sur les murs des mots enflammés, elle fait des sourires à la télévision puis elle dort énormément.
Deux soeurs partent en vacances, déterminées à ne pas approcher l’ombre d’un homme. Deux amis travaillant ensemble, partent en vacances, résolus d’échapper à toute tentative de séduction. Mais le hasard les met face à face. Nos quatre héros tiendront-ils leurs résolutions ?
Elle s’appelle Agnès. C’est une femme adulte de notre temps, mais qui reste enchaînée à la petite fille de douze ans qu’elle fut, abusée par son père. Elle vit dans le passé autant que dans son présent d’avocate, captive de la mémoire de cette violence infligée à une enfant.
Fresque en neuf mois, le temps d’une gestation, d’une rencontre, d’un dépouillement, d’une résurrection…
Il était une fois deux sœurs que personne ne semblait pouvoir séparer…
Tita-Lou. Il y a ce lien, ce tiret, ce trait tiré, ce trait à tirer entre Tita et Lou.
Il y a le soleil d’août : il y a la chaleur claire des pierres plates ; il y a des Indiens féroces ; il y a un pacte. Il y a les premiers émois ; il y a des absences silencieuses et des cris de joie ; il y a le refuge délicieux de l’eau courant dans l’herbe odorante. Il y a l’amitié, cette passion douce. Le temps passe…
Comment aimer ? Tellement d’émotions s’entremêlent, du désir au rejet, du trouble à l’évidence, de la souffrance à la joie. Tellement de forces nous animent, en même temps l’égoïsme et la générosité, l’audace et la peur, la violence et la patience. Aimer ? C’est, même au plus profond du désespoir, espérer l’être.